1. Le Berceau dans les étoiles
(2015), Ed. L’Originel, Essai, disponible aussi à l’association
20 €
Ce livre nous propose de mettre en résonance différents textes sacrés de l’histoire de l’humanité, des perceptions de la terre, de l’univers et du Créateur, qui nous viennent de fort loin parfois et qui nous semblent si proches avec l’éclairage des nouvelles sciences.
Vertige d’autant plus grand que l’humanité est en train de s’abîmer à nouveau dans un manque total de Conscience. Les habitants de la terre célèbrent le dieu argent au détriment de la connaissance de soi et de l’Amour. Ce qui a fait dire à Sri Aurobindo, le plus grand penseur de notre XXème, dans un poème fulgurant, Savitri : « Ô petits aventuriers dans un monde infini,
Prisonniers d’une humanité de nains,
Tournerez-vous sans fin dans la ronde du mental,
Autour d’un petit moi et de médiocres riens ? ».
Mais ce même visionnaire nous promet aussi :
« Les enfants aux yeux de soleil d’une aube merveilleuse,
Architectes de l’immortalité,
Corps resplendissants de la lumière de l’esprit,
Porteurs du mot magique, du feu mystique. »
L’ambition de ce livre est de vous ouvrir à une autre compréhension du monde à la lumière des Anciens et des penseurs d’aujourd’hui, pour construire notre véritable vocation, qui est divine.
LE SITE DE L’ÉDITEUR – 4 DÉCEMBRE 2014
20 mai 2015_la lettre du Crocodile_Editions l’Originel_Le berceau dans les étoiles de Lionel Tardif
Le Journal Catalan, 10 mars 2015
2. Taj Mahal, Rose du monde (2005), Ed. Le cercle des auteurs, Roman
13 €
C’est un récit à quatre voix, avec quatre personnages comme mus par des forces supérieures, qui vont donner quatre versions de l’histoire des Moghols dont le Taj est l’épicentre. Ce mausolée sublime qui a scellé une histoire d’amour immortelle est devenu un symbole pour l’Inde entière.
C’est un récit à quatre voix, avec quatre personnages qui ont de bonnes raisons de se retrouver aujourd’hui au Taj Mahal pour en raconter l’histoire et celle de la saga de l’Empire Moghol qui a régné sur l’Inde à partir de l526. L’apogée de la civilisation Moghole fut le Taj Mahal, ce mausolée sublime qui a scellé une his- toire d’amour immortelle. Le lieu est devenu un symbole pour l’Inde entière. Tous les fiancés y viennent en pèlerinage, qu’ils soient hindous, musulmans, sikhs ou chrétiens. Au Taj, ils s’inclinent sur les tombeaux de l’empereur Shah Jahan et de l’impératrice Mumtaz Mahal, et en même temps s’imprègnent des effluves bienfaitrices du site, sur les bords de la Yamuna,fleuve sacré. Ces quatre personnages comme mus par des forces supérieures, vont donner quatre versions de l’histoire des Moghols qui se répondent et se complètent, afin d’en restituer les temps forts imprégnés de la mystique soufie et chargés de poésie. L’auteur n’oublie pas de rappeler aussi que l’amour et l’horreur qui font partie de la destinée humaine s’y côtoient sans pour autant altérer une époque qui fut dorée un bref instant dans le temps. Organisateur de voyages culturels en Inde, l’auteur a été fasciné par les hauts lieux Moghols dont le Taj est l’épicentre, et a voulu nous faire partager ses impressions sur une civilisation et son architecture. Lionel Tardif Cinéaste (principaux films) : la Fouine, le Matin d’Elvire, la Maison du Départ, la danse de Shiva. 7 Voyages en Oman. Créateur avec Henri Langlois (fondateur de la Cinémathèque française) de la Cinémathè- que de Tours qu’il a dirigé pendant 35 ans et où il a enseigné l’Histoire du cinéma et de son langage. Directeur pendant 18 ans du Centre Culturel du Beffroi de Tours axé sur la découverte des cultures, des Arts traditionnels et où ont été créées les célèbres conférences « Aux frontières de la Connaissance « . Initiateur de deux symposiums internationaux pour une nouvelle conscience de l’homme Créateur et directeur de plusieurs festivals de cinéma dont le dernier en date: » Les Rencontres Internationales du Film de Patrimoine de Vincennes « Organisateur de 13 voyages culturels en Inde.
3. Les grands aventuriers du Cinéma (1998), Ed. Les Trois Mondes, histoire du langage du cinéma
25 €
Depuis les Frères Lumière jusqu’à Artavadz Pelechian, tous les créateurs qui ont façonné le langage cinématographique des débuts du cinéma jusqu’aux années 70. Grâce à des paris et des audaces, qui ébranlèrent souvent l’équilibre financier de la production des films, ils ont œuvré dans la verticalité avec la volonté de capter la lumière qui surgit dans les ciels d’orage…
Le doyen des cinéastes en activité, le grand réalisateur portugais Manoel de Oliveira _ 9l ans au moment où ce livre est édité _ a déclaré que l’on utilise régulièrement « la cécité des masses pour se délecter de leur dieu tout-puissant — l ‘argent ! » En grande majorité le cinéma méprise aujourd’hui le public en le manipulant avec des effets spéciaux gratuits qui occultent la médiocrité des contenus, en utilisant sa corde sensible avec des sujets pseudo- humanitaires, en jouant sur ses instincts souvent les plus primaires. Dans LES GRANDS AVENTURIERS DU CINÉMA, j’ai voulu montrer les créateurs qui ont fait le cinéma depuis sa découverte, souvent au prix de beaucoup de souffrances, voire pour certains de persécutions, et comme l’a dit Jean Renoir aussi de sang. Ces aventuriers ont façonné le langage de cet Art nouveau étape par étape depuis les frères Lumière, jusqu‘à Artavadz Pelechian. Ainsi l‘un découvrait l‘impact du gros plan, un autre inventait avec le travelling le cadre en mouvement, un troisième la gamme des plans, découverte capitale sur l‘osmose de l‘espace et du temps, un quatrième la dialectique entre les images et les sons, etc. pour petit à petit établir la syntaxe du langage cinématographique avec ses assonances et ses allitérations propres. Cette grammaire n‘a pu être mise au point que grâce a des paris et des audaces qui ébranlèrent souvent l’équilibre financier de la production des films et valurent à ses auteurs le purgatoire pour un temps de l‘expression de leur art, souvent le reniement total. On découvrira au fil des pages que les cinéastes ont en effet toujours été sous le joug des marchands de pellicule pour qui le business était le seul souci. Pourtant aujourd’hui, Manoel de Oliveira du haut de son grand âge qui a englobé le siècle du cinéma nous dit encore : « c’est ce qui a commencé devant très peu de monde qui a touché les esprits, bougé les sociétés… pas les bestsellers ». Dans ce livre nous voyons défiler comme sur l’écran d‘une salle obscure d’où jaillit la lumière et ses images, les primitifs, les pionniers. les créateurs d’avant 1940, ceux d‘après jusqu‘aux années 70 fin de mon propos, car je pense que l’essentiel en 75 ans a été découvert concernant l‘art cinématographique. Bien sûr sur le plan technique ce n‘est sans doute qu‘un début, mais désormais les nouveaux créateurs auront toujours besoin de cette syntaxe de base dont l‘ histoire est racontée ici. Un regard est également porté sur les grandes écoles et les époques où ce langage s’est donné libre cours, moments de ferments particulièrement intenses pour la création cinématographique. Enfin dans ce travail l‘auteur a privilégié les créateurs qui ont particulièrement oeuvré dans la verticalité avec la volonté de capter la lumière qui surgit dans les ciels d‘orage. Lionel TARDIF
(1) Manoel de Oliveira (Petit dialogue) dans Positif n°436 juin l997
» L ‘auteur : Cinéaste, Directeur artistique de la Cinémathèque de TOURS (antenne de la Ci- némathèque Française), Délégué général de plusieurs festivals de cinéma, et de deux col- loques internationaux sur » une Nouvelle Conscience « . dirige pendant 17 ans le Centre so- cio—culturel du Beffroi à TOURS. Enseigne le cinéma. Il réalise en 1986 en Inde un film majeur la DANSE DE SHIVA prix du C.I.D.A.L.C Sofia 1991. Il vient de tourner un documentaire de création : CHEMINS DE GLOlRE EN INDE sur certains hauts lieux de la spiritualité. Prépare d’ autres films. »
4. Vers une Nouvelle Conscience (1988), Ed. Jean Boully, Actes d’un symposium international
15 €
Ce livre propose la quintessence des interventions transdisciplinaires de ce premier symposium international (Tours 1988). Tout en montrant les convergences existant entre les domaines des sciences, des arts et de la tradition, ces différents chercheurs ont contribué à l’indispensable mutation vers une vision et une responsabilité planétaire.
5. La Montée de la sève (1971) Ed. du Beffroi, Roman
Sous forme de roman, son expérience de vie qui passe par des petits boulots très jeune, la guerre d’Algérie au pire moment, 10 ans d’usine à se faire intoxiquer par des produits chimiques. Mais le tout réuni et grâce à un député maire éclairé qui a privilégié ce chemin de vie aux diplômes, Lionel a pu, pendant 40 ans, diriger le Centre Culturel de Tours, une cinémathèque, des festivals de cinéma et créer deux symposiums internationaux pour une nouvelle conscience de l’humanité.
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